Promenade dans la biliothèque

Une ombre se glissa par la fenêtre entrouverte, et se posa sur le rebord. À première vue, on aurait dit une petite fille. Ou une figurine. Non, un poupée.
Vêtue de noir, le vent s'engouffrait dans ses cheveux blancs, les gonflant, formant une auréole autours de son visage. Dans son dos, deix ailes sombres encore déployées. Mais ce n'était pas un ange.
C'était Suigintô, la première des Rozen Maiden.

À travers les carreaux de la biliothèque, on apercevait un pan de ciel. De toute évidence, la nuit n'allait pas tarder à tomber, et le flan des nuages se teintait d'or et de rose. Petit à petit, le noir de la nuit emporterait la lumière du soleil, et Suigintô pourrait voler sous la Lune.

La poupée reporta son attention sur la pièce dans laquelle elle était entrée. Elle balaya les étagères de livres de ses yeux violets, guettant le moindre mouvement. Les lumières étaient éteintes, mais elle distinguait les contours des objets se trouvant là.

Des livres. Partout. Suigintô sentit un courant d'air soulever ses cheveux et les pans de sa robe. Elle n'avait pas fermé la fenêtre. La poupée soupira; elle aurait voulu revoir son ancien méduim. Megumi. Pour le moment, elle avait l'air d'être la seule Rozen Maiden réveillée.

-Évidemment, j'ai toujours eu un temps d'avance sur mes... soeurs.

De toute évidence, ce monde-là était plus beau que le dernier dans lequel elle avait vécu. Suigintô songea qu'elle aurait du mal à trouver un médium. Elle avait hâte que Shinku soit réveillée à son tours, car enfin elle, Suigintô, pourrait la battre, ainsi que toutes les autres pour gagner le Alice Game et rencontrer Père.

-Otosama... Père. Moi, Suigintô, Première Rozen Maiden, je vous rencontrerai bientôt.

La poupée survola les étagères. C'était ici une pièce agréable, elle avait bien envie de rester mais cela lui était impossible. Alors elle regagna le rebord de la fenêtre, s'y assit et attendit.

Kumiko rentra calmement dans la pièce. C'est cheuveux noir et court en bataille et sa belle robe noir avec ses haut tallons, une démarche de top modelle et une sillhoute fine. les gens qui était prsent dans la bibliothèque ne la reconnurent pas tous comme la 2ème princesse mais d'un côtés, elle s'en fichait.
Elle commença à arpenter les étagères pour trouver un livre sur la couture car elle commnecer à s'amélioré dans se domaine mais se n'était toujours pas son point fort.
Cherchant donc un livre de couture, elle tomba sur un vieux livre parlant des Rozen maiden.

"Rozen ..."

Murmura-t-elle tout en touchant la tranche du livre.
Elle décida finalement e le prendre et s'assit sur une table et commença la lecture.

[[désolée pour le retard =]]

Les yeux violets de la poupée balayèrent la pièce. Un mot attira son attention, mais elle n'en était pas sûre. Peut-être était-ce simplement une farce du vent, et qu'en rélité personne n'avait prononcé ce nom-là.

"Rozen". Qui...?

C'est alors que Suigintô vit une jeune femme en train de lire un livre qui, à première vue, avait l'air plutôt ancien. Connaissait-elle l'existence des Rozen Maiden ? Suigintô en doutait, cependant la jeune femme l'intriguait.

Il fallait que Suigintô se trouce une médium, mais elle ne pouvait se résoudre a quitter la bibliothèque. Une douce atmosphère émanait du bâtiment, on se sentait bien parmi les livres. Évidemment, ce monde était tellement plus beau que l'ancien...

"C'est un endroit... reposant.

Devait-elle aborder la jeune femme ? Suigintô hésitait...

Kumiko avait mais commencer à lire mais elle s'rrêta bien vite. Le livre était en Allemand et cette langue, et bienqu'elle sache parler beaucoup de langue, c'était pas son truc.

Bref, Kumi le feuilleta quand même a peu mais pour finir par le fermer et re-regarder la couverture. Elle était en une sorte de carton sur coloré en un noir de jais. Le titre était en lettres gothqiue qui étaient faite en argent. Pour couroner le tout, une magnifique rose et sa tige tout en argent.

Ku-chan ce leva et reposa le livre quand elle entendit un léger battement d'aile.

*Qu'est ce que ... Non, ce ne doit être qu'un oiseau.*

Mais comme pour se rassurer elle même, elle alla voir l'endoit d'où provenais le bruit.

C'est là qu'elle apercu Sugintô. Elle resta tout d'abord figer; puis s'approcha de la poupée.

"Tu es Sugintô, je me trompe ? Que fais-tu là ?"

Suigintô ignora la question.

"Non. Tu ne te trompe pas. Qui est-tu ?

La poupée attendit la réponse, patiente.

Le vent souffla dans la bibliothèque, s'engouffrant dans ses cheveux couleur de neige, faisait voltiger les pans de sa robe.

"Et, que connaios-tu des Rozen Maiden ?